[Postulat] Pour un plan directeur piétonnier à Chavannes-près-Renens

Postulat déposé par Betrand De Rham (Parti Les Vert-e-s) et Alexandre Rydlo lors de la séance du Conseil communal du jeudi 15.11.2024

La densification actuellement à l’œuvre dans l’Ouest lausannois s’accompagne d’une augmentation du trafic automobile, ce qui impacte fortement le confort et la sécurité des personnes qui pratiquent les mobilités actives : vélo, marche, etc.
Si les cheminements cyclistes se sont, de manière générale, bien améliorés depuis quelques années dans notre commune, malgré certains chaînons encore manquants, force est de constater qu’il n’y a pas eu, pour l’heure, d’amélioration notable quant aux cheminements piétons.

Or, les mobilités actives ont de multiples avantages, tant au niveau de la santé des personnes qui les pratiquent que de la limitation de la pollution, des émissions de gaz à effet de serre, du bruit et des autres nuisances liées au trafic motorisé.
Afin de favoriser les déplacements à pied, il importe de créer des cheminements piétonniers continus, confortables et sécurisés, et de développer des infrastructures qui le permettent, y compris pour les personnes à mobilité réduite : trottoirs suffisamment larges, franchissements des rues avec trottoirs traversants ou a minima trottoirs abaissés, présence d’un maillage de points d’eau pour s’hydrater et de bancs pour se reposer, etc.

C’est pourquoi nous demandons à la Municipalité, par ce postulat, d’étudier l’opportunité d’établir un plan directeur piétonnier sur tout le territoire de la commune de Chavannes-près-Renens, qui permette de créer un réseau piétonnier cohérent, continu, confortable et sûr, pour toutes les catégories de la population.

Chavannes-près-Renens, le 14.11.2024

Alexandre Rydlo, Conseiller communal socialiste

Bertrand de Rham, Conseiller communal Les Vert-e-s

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[Grand Conseil – Interpellation] Licenciements chez SICPA SA : Quelles mesures de sauvegarde des emplois dans le Canton de Vaud ?

Interpellation déposée par Alexandre Rydlo lors de la séance du Grand Conseil du mardi 05.11.2024

Monsieur le Président,
Mesdames, Messieurs,

Jeudi 10.10.2024, on apprenait que la multinationale SICPA SA, envisage une restructuration lourde et la potentielle suppression de 120 postes à Prilly, son siège, et à Chavornay, son site de production en Suisse, malgré des investissements récents et d’éventuels avantages fiscaux obtenus, selon des allégations tenues dans les médias mais contestés par l’entreprise.

Entreprise technologique suisse en mains familiales fondée en 1927 à Lausanne, et entreprise leader mondiale dans les encres de sécurité pour les billets de banque, SICPA SA emploie plus de 3000 personnes de plus de 84 nationalités différentes sur les 5 continents du monde, dont environ 1000 sur les sites de Prilly et Chavornay.

Un licenciement de 120 personnes représenterait une diminution d’environ 12% de ses effectifs locaux.

Pour se justifier, la société évoque un contexte géopolitique difficile bien que son volume d’affaires d’environ 1,5 milliards de CHF par an et ses commandes soient solides. Toutefois, la consultation de la presse internationale montre que c’est sur un autre front que les difficultés semblent s’accumuler sur SICPA SA. Ce sont les prestations de traçage de produits auprès d’Etats émergeants qui semble un marché peu stable et risqué.

Il convient aussi ici de préciser que cette entreprise a, à plusieurs reprises ces dernières années, procédé à des licenciements au niveau mondial, notamment à la suite d’affaires de corruption, et que cette entreprise a pu profiter de l’appui de la BCV pour des opérations de développement de ses activités.

Aussi le soussigné pose-t-il les questions suivantes au Conseil d’Etat :

  1. Le Conseil d’Etat a-t-il été tenu au courant de l’intention de restructuration de l’entreprise SICPA SA apprise en date du 10.10.2024 ? Si oui, quelles sont les démarches qu’il a entreprises pour sauvegarder les emplois concernés ? Si non, comment se l’explique-t-il ?
  2. Le Conseil d’Etat peut-il confirmer ou clarifier les allègements fiscaux accordés à SICPA SA ces trente dernières années, et les obligations de maintien d’emploi qui en découlent ?
  3. Le Conseil d’Etat peut-il préciser les modalités de soutien au Technopôle d’importance cantonale que constitue le « Unlimitrust » by Sicpa, de manière directe et indirecte, et les conditions auxquelles ces soutiens ont été octroyés ?
  4. En sa qualité d’actionnaire majoritaire de la BCV, le Conseil d’Etat peut-il indiquer si la BCV dispose d’engagements financiers, y compris leurs volumes et leurs risques, pris par la BCV au profit de SICPA SA ces trente dernières années et sous quelles conditions ?
  5. Quelles initiatives le Conseil d’Etat envisage-t-il pour garantir une consultation approfondie avec les partenaires sociaux, afin d’explorer des alternatives aux licenciements, idéalement les empêcher ?
  6. Enfin, le Conseil d’Etat prévoit-il d’engager des mesures de soutien et de formation pour les salarié-e-s potentiellement touché-e-s par ces restructurations ?

Merci pour votre attention.

Chavannes-près-Renens, 05.11.2024

Alexandre Rydlo, Député socialiste

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[Grand Conseil – Interpellation] Métro m1 – Transformation/Développement nécessaire de cette ligne – Où en est-on ?

Interpellation déposée par Alexandre Rydlo lors de la séance du Grand Conseil du mardi 29.10.2024

Monsieur le Président,
Mesdames, Messieurs,

Le 22.11.2016, le soussigné déposait le Postulat 16_POS_218 « Pour une extension de l’infrastructure et de l’offre du M1 » soutenu par l’entier de la députation de l’Ouest lausannois. Ce Postulat était ensuite accepté à l’unanimité du Grand Conseil lors de sa séance du 13.03.2018.

Le dépôt de ce Postulat était notamment motivé par trois raisons :

  1. Le métro est saturé et son exploitation sur une voie presque totalement unique ne permet plus, ni de répondre aux besoins de manière satisfaisante, ni de développer l’offre.
  2. Via la densification en cours et la réalisation des projets de quartier y relatifs, la Population du District de l’Ouest lausannois grandit d’année en année, tout comme celle des Hautes Ecoles.
  3. La confrontation entre l’infrastructure ferroviaire du métro m1 et l’infrastructure routière de l’Ouest lausannois à quatre points de croisement principaux (Bourdonnette, Mouline, Cerisaie, et Tir-Fédéral) amène à des problèmes majeurs d’encombrement du trafic routier et à toutes les conséquences y relatives (pollution, bruit, danger).

Puis, lors de sa séance du 10.03.2020, le Grand Conseil acceptait à l’unanimité l’Exposé des motifs et projet de décret 172 accordant au Conseil d’Etat un crédit d’étude de CHF 800’000.- pour financer l’étude exploratoire de l’évolution du métro m1 et de son intégration dans l’Ouest lausannois, et le rapport du Conseil d’Etat au Postulat du soussigné.

Depuis, beaucoup de discussions et ateliers de travail ont eu lieu.

Toutefois, lors de la séance du Conseil communal de la Ville de Chavannes-près-Renens du jeudi 10.10.2024, les éléments suivants sont ressortis :

  • Les variantes actuellement à l’étude ne sont pas satisfaisantes pour les communes concernées, et ne permettent pas d’entrevoir une solution de développement adéquate du métro m1 ;
  • Le projet est en retard et ne permettrait plus de prétendre à un financement de la Confédération via le Programme en faveur du trafic d’agglomération (PTA), notamment celui de 4e génération, un programme qui prévoit que le dernier délai pour le début des travaux de 4e génération est au plus tard le 31.03.2029 (3e génération : 31.12.2025) ;
  • La fin du cycle de vie des automotrices du métro m1 se situe aux alentours de l’année 2030, soit à peine une année après le délai mentionné au point précédent.

Aussi le soussigné pose-t-il les questions suivantes au Conseil d’Etat :

  1. Le Conseil d’Etat peut-il donner les éléments temporels qui amèneront à la nécessaire évolution de la ligne du métro m1 ? En particulier, le Conseil d’Etat peut-il confirmer que les travaux de développement de la ligne, tant du point de vue infrastructurel que du point de vue du matériel roulant, pourront intervenir dans le cadre du financement des projets de 4e génération du Programme en faveur du trafic d’agglomération (PTA, délai au 31.03.2029 au plus tard pour le début des travaux) ?
  2. Si les travaux ne peuvent pas démarrer dans les délais prévus pour la 4e génération du PTA, à quelle date et dans quelle génération du PTA ces travaux pourront-ils avoir lieu au plus tard ?
  3. Dans l’hypothèse d’un retard, comment le Conseil d’Etat prévoit-il la desserte de la ligne du métro m1 dès la fin du cycle de vie des automotrices du métro m1 prévu aux alentours de l’année 2030 ?

Merci pour votre attention.

Chavannes-près-Renens, 29.10.2024

Alexandre Rydlo, Député socialiste

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[Grand Conseil – Question simple] Quelles sont les mesures prises pour assurer un transfert efficace sur le réseau des transports publics régionaux des voyageur-euse-s supplémentaires prévu-e en gare de Renens à partir du changement d’horaire CFF du 15.12.2024, notamment s’agissant du métro m1 et des lignes de bus 31, 32 et 33 ?

Question simple déposée par Alexandre Rydlo lors de la séance du Grand Conseil du mardi 29.10.2024

Monsieur le Président,
Mesdames, Messieurs,

Tôt le dimanche 15.12.2024 entrera en vigueur le nouvel horaire des CFF. Selon le site des CFF, l’une des grandes nouveautés du nouvel horaire est la desserte de Renens par certains trains grandes lignes en provenance ou en direction de toute la Suisse. Cela permettra ainsi à quelque 4000 voyageur-euse-s quotidien-ne-s à destination de l’Ouest lausannois, notamment ses Hautes Ecoles, de descendre directement à Renens plutôt que de changer de train en gare de Lausanne. S’y arrêteront les trains :

  • InterCity IC5 (Rorschach/Zürich–Biel/Bienne–Neuchâtel–Yverdon-les-Bains–Renens–Lausanne, chaque demi-heure) ;
  • InterCity IC1 (St-Gallen/Zürich–Berne–Fribourg/Freiburg–Lausanne–Renens–Genève/Genève-Aéroport, chaque heure) ;
  • InterRegio IR90 (Brig–Sion–Martigny–St-Maurice–Montreux–Lausanne–Renens–Genève/Genève-Aéroport, chaque heure) ;
  • RegioExpress RE33 (Annemasse–Genève–Coppet–Nyon–Gland–Rolle–Allaman–Morges–Renens–Lausanne–Vevey–Montreux–Villeneuve–Aigle–Bex–St-Maurice, chaque demi-heure et jusqu’à Martigny, chaque heure).

Le soussigné est satisfait de ce nouvel horaire dès lors qu’il répond de manière anticipée mais nécessaire à son Postulat 15_POS_143 « Pour un arrêt des trains grandes lignes en gare de Renens », déposé le 15.09.2015, soutenu par l’entier de la députation du District de l’Ouest lausannois, et accepté à la très grande majorité du Grand Conseil lors de sa séance du mardi 06.10.2015.

Toutefois, à quelques semaines maintenant de la mise en service de ces nouvelles correspondances en gare de Renens, vu la situation encore partiellement achevée des travaux en cours dans ce secteur, notamment relativement au tramway t1, vu la saturation de la ligne de métro m1 et les problématiques de matériel roulant y relative, vu la modestie actuelle des lignes de bus 31, 32 et 33 tant en fréquence qu’en matériel roulant, le soussigné s’interroge sur l’état de préparation de ce noeud de transfert de transports publics / transfert modal.

Le soussigné n’a toutefois aucun doute quant au fait que la gare de Renens puisse accueillir autant de voyageur-euse-s supplémentaires, même si certains aménagements comme des containers de recyclage manquent désespérément dans le passage sous-voies, sur la passerelle et sur les quais, sauf sur ceux du métro m1 (3 containers souvent pleins).

Aussi le soussigné pose-t-il la question simple suivante au Conseil d’Etat :

Quelles sont les mesures prises pour assurer un transfert efficace sur le réseau des transports publics régionaux des voyageur-euse-s supplémentaires prévu-e en gare de Renens à partir du changement d’horaire CFF du 15.12.2024, notamment s’agissant du métro m1 et des lignes de bus 31, 32 et 33 ?

Merci pour votre attention.

Chavannes-près-Renens, 29.10.2024

Alexandre Rydlo, Député socialiste

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[Interpellation] Mesures anti-drogue à Lausanne et dans le Canton de Vaud – Quelles sont les conséquences et les mesures prises à Chavannes ?

Interpellation déposée par Alexandre Rydlo lors de la séance du Conseil communal du jeudi 10.10.2024

Monsieur le Président,
Mesdames, Messieurs,

On apprenait lundi 07.10.2024 que, depuis le 01.10.2024, le Corps de police de la Ville de Lausanne mutualise ses forces au travers d’un projet pilote en fusionnant sa Division police-secours et sa Division proximité, partenariats et multiculturalité. Grâce à cette concentration des moyens et la souplesse apportée, la Police municipale de Lausanne renforce désormais la sécurité de l’espace public avec plus de patrouilles pédestres, et espère ainsi contribuer à diminuer les infractions, notamment celles relevant de la consommation et du trafic de stupéfiants dans l’espace public.

Un jour plus tard, le mardi 08.10.2024, le Conseiller d’Etat Vassilis Venizelos, Chef du Département de la Sécurité et de l’Environnement du Canton de Vaud, apprenait aux Député-e-s lors de la séance du Grand Conseil que le Canton de Vaud met en place une « task force » sur le deal de rue. Plus grande présence dans la rue de la police, opérations « coups de poing », interdictions de périmètre et intensification des renvois de trafiquant-e-s incarcéré-e-s en fin de peine font partie des nouvelles mesures.

Toutes ces annonces et mesures sont supposées pouvoir répondre à la problématique manifestement grandissante de la consommation et du trafic de stupéfiants dans bon nombre d’espaces publics du Canton, principalement en zones urbaines.

A ce propos, le soussigné précise trois choses :

  • La première est qu’il lui est difficile d’effectuer une appréciation scientifiquement objective de la situation étant donné le peu de données à disposition facilement pour suivre l’évolution de la situation en matière de trafic et de consommation de stupéfiants dans le Canton ;
  • La deuxième est que le soussigné observe depuis des années une apparente dégradation, lente mais régulière, de la situation au point d’en arriver à devoir observer la consommation de cocaïne dans le métro m2 devant les passager-ère-s ;
  • La troisième, c’est qu’aucune communication n’explique clairement quelles sont les mesures non exclusivement répressives que l’Etat entend commencer, continuer, intensifier, et/ou développer pour aider les personnes victimes du trafic et de la consommation de stupéfiants. Certes, certaines mesures sanitaires d’aide et des essais-pilotes pour rendre transparent le marché de certains stupéfiants existent déjà, mais on n’en connait jamais beaucoup tous les détails et, surtout, on ne connait jamais vraiment les résultats.

Ce qui est en tout cas certain, c’est qu’il n’est pas acceptable de laisser les dealers de drogue s’adonner à leur activité illicite impunément dans quelconque espace, soit-il privé ou public, tout comme il n’est pas acceptable de laisser les consommateurs-trices de stupéfiants consommer leurs produits n’importe où dans l’espace public et dans des conditions sanitaires impropres. Un minimum d’ordre est nécessaire et ce minimum est généré par un subtil assemblage de mesures de répression et de prévention.

Cela étant, si la Ville de Lausanne et le Canton de Vaud mettent en œuvre les mesures telles qu’évoquées ci-dessus sur le territoire de la Ville de Lausanne, des conséquences seront vraisemblablement perceptibles sur le territoire des communes de l’Ouest lausannois, celui de Chavannes-près-Renens en particulier. Sans mesures coordonnées à l’échelon régional et cantonal, on peut ainsi émettre l’hypothèse qu’une partie du trafic et de la consommation de stupéfiants en ville de Lausanne et d’autres centres urbains du Canton se déplace sur le territoire des communes de l’Ouest lausannois.

Aussi, par voie d’interpellation, le soussigné pose à la Municipalité les questions suivantes :

  1. La Municipalité a-t-elle conscience des problèmes évoqués ci-dessus et a-t-elle une bonne vision de la situation en matière de trafic et de consommation de drogue sur le territoire communal ?
  2. La Municipalité a-t-elle été associée aux réflexions de la Ville de Lausanne et du Canton de Vaud pour l’établissement de leurs mesures, notamment quant aux conséquences potentielles de celles-ci sur la commune ? La Municipalité souscrit-elle à ces mesures ?
  3. La Police de l’Ouest lausannois est-elle intégrée dans les réflexions évoquées au Point 2, en particulier est-elle partie prenante au dispositif en cours de mise en place ? Quelles en sont les conséquences opérationnelles et financières ?
  4. Par extension de la question au Point 3, la Municipalité est-elle intégrée sous une forme ou sous une autre dans le dispositif en cours de mise en place ? Quelles en sont les conséquences opérationnelles et financières ?
  5. Quelles sont les mesures prises par la Municipalité, ou qu’elle prendra, pour éviter les potentielles et/ou probables conséquences des mesures prises par la Ville de Lausanne et le Canton de Vaud sur la commune ?
  6. Quelles sont les mesures d’aide et de prévention que la Municipalité offre à la Population chavannoise en matière de stupéfiants ? S’il y en a des particulières, est-il prévu de les étoffer ? S’il n’y en a pas, est-il prévu d’en développer ?
  7. La Municipalité estime-t-elle avoir assez de moyens tant humains, matériels que financiers pour lutter sur le territoire communal efficacement contre le trafic de drogue et aider les personnes qui en sont les victimes ?

Merci pour votre attention.

Chavannes-près-Renens, 10.10.2024

Alexandre Rydlo, Conseiller communal socialiste

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