[Postulat] Pour de la verdure dans l’architecture dans l’Ouest lausannois

Postulat déposé par Julien-Clément Waeber lors de la séance du Conseil communal du jeudi 16.02.2017

Monsieur le Président,
Mesdames, Messieurs,

Murs végétalisés, toits verts, ou des arbres dans une tour, mettre de la végétation dans l’architecture est devenu tendance en ce début du XXIème siècle.

Certains diront que cela fait « bobo écolo », le soussigné ne le pense pas et souligne la qualité esthétique de ces éléments architecturaux.

Voici une liste, non exhaustive, des avantages de la végétalisation des façades, toitures, murs, etc. :

  • Favoriser la biodiversité ;
  • Lutter contre la pollution et améliorer la qualité de l’air ;
  • Isoler de façon efficace et écologique les bâtiments ;
  • Améliorer le bien-être général de la population.

Le mobilier urbain (lampadaires, poteaux, arrêts de bus, etc.) peut être aussi végétalisé.

Dans la région, il y a, entre autres, l’arrêt du M2 à la Place de l’Europe (Lausanne, Flon) qui a une toiture et une façade végétalisés. Sur la Commune, il y aura la tour des Cèdres avec sa forêt verticale. Au passage, on peut regretter que le Vortex n’ait pas de toiture verte.

Dans un district et une commune en proie à une urbanisation exponentielle, certains se plaignent qu’on bétonne à tout va, grignotant des espaces verts.

Rappelons que la population a approuvé en 2013 la Loi sur l’aménagement du territoire (LAT), rejetant ainsi le bétonnage massif.

Ainsi, je demande à la Municipalité d’étudier :

  1. La mise en place, dans le cadre de la révision du Plan Directeur Intercommunal piloté par le SDOL, d’une stratégie de végétalisation des façades, toitures, murs, immeubles et du mobilier urbain ;
  2. L’opportunité de faire une étude de faisabilité de végétalisation des bâtiments communaux ;
  3. Selon les résultats de cette étude, de présenter au Conseil communal un plan de végétalisation des bâtiments communaux.

Chavannes-près-Renens, le 16.02.2017

Julien-Clément Waeber, Conseiller communal socialiste

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[Interpellation] Amélioration / développement de l’offre – Quel est le futur du métro m1 ?

Interpellation déposée par Alexandre Rydlo lors de la séance du Conseil communal du jeudi 16.02.2017

Monsieur le Président,
Mesdames, Messieurs,

Inauguré en 1991 sous le nom de TSOL, à savoir Tramway du Sud-Ouest Lausannois, le métro m1 a immédiatement été victime de son succès. Le temps de la première année d’exploitation, avec ses 7.4 millions de passagers, il a dépassé les prévisions les plus optimistes de l’époque. En 2015, sur la même infrastructure, essentiellement à simple voie, il a transporté 12.8 millions de passagers, soit 73% de plus qu’à ses débuts.

Pendant ses 25 ans d’exploitation, il a accompagné le développement des communes de Lausanne et de l’Ouest lausannois, notamment celle de Chavannes-près-Renens, de même que l’augmentation spectaculaire des étudiant-e-s de l’EPFL et l’UNIL, tout en contribuant de façon substantielle au transfert modal de la route au rail.

Ajoutée à cela, la concrétisation à l’horizon 2020 de bon nombre de plans de quartier le long, ou à proximité de la ligne du métro m1 à Chavannes-près-Renens, Ecublens, au Sud de Prilly et au Sud de Renens, va mettre à dure épreuve les capacités de la ligne. Parmi ces plans de quartier, on peut citer :

  • le plan de quartier de la Pala à Chavannes-près-Renens avec le fameux bâtiment Vortex pour les JOJ 2020 et ses 1200 habitants, pour l’essentiel des étudiants ;
  • le plan de quartier des Cèdres à Chavannes-près-Renens avec ses 1200 habitants, ses 1000 emplois, et sa tour éponyme de 117 m de haut ;
  • le plan de quartier des Côtes de la Bourdonnette à Chavannes-près-Renens avec le futur Campus Santé (C4 et HESAV), ses 1500 étudiants, ses 230 emplois et ses 2000 habitants (dont 500 étudiants) ;
  • le plan de quartier d’En Dorigny à Chavannes-près-Renens avec ses nouveaux commerces, dont Aligro, et ses 2000 habitants et 200 emplois ;
  • les plans de quartier en planification En Mapraz, Pontet-Sorge, La Brûlée et Croset-Parc à Ecublens, avec leurs centaines de nouveaux habitants/emplois ;
  • le plan de quartier de Malley à Prilly avec ses quelques 18’000 habitants/emplois ;
  • le plan de quartier de la gare de Renens et ses quelques 1000 habitants et 1300 emplois ;
  • les plans de quartier de Sébeillon-Sévelin à Lausanne avec leurs quelques 1000 habitants.

On peut aussi citer les plans de quartier de Bussigny et Crissier qui, associés au futur tram t1 entre Lausanne et Villars-St-Croix, généreront aussi une augmentation de trafic sur la ligne de métro m1 :

  • les Plans de quartier des Jonchets (400-500 habitants), de Cocagne-Buyère (1400 habitants et 400 emplois) et de Bussigny-Ouest (2800 habitants/emplois) à Bussigny ;
  • les Plans de quartier Alpes Sud, En Chise et Lentillières-Nord à Crissier avec leurs quelques 1000 habitants et 300 emplois.

Au vu de tout cela, on peut donc légitimement s’attendre à une augmentation explosive de l’utilisation du métro m1 ces prochaines années.

Or, le métro m1 est arrivé aujourd’hui à une saturation totale, et on ne peut pas imaginer y transporter plus de passagers sans une adaptation/transformation complète de son infrastructure et de son mode d’exploitation.

Pour quiconque prend aujourd’hui le métro m1 aux heures de pointe du matin et du soir, un constat simple et clair s’impose: les horaires ne sont souvent plus respectés, les passagers sont souvent entassés, le temps de parcours est sensiblement prolongé et les rames doivent systématiquement attendre aux arrêts pour croiser une autre rame.

De plus, les fréquents passages aux carrefours de la Cerisaie (Pontet-Nord) et de la Bourdonnette (toutes les 2.5 minutes aux heures de pointe) bloquent le trafic routier, en créant d’importants bouchons, en empêchant également le passage des transports publics. Avec la concrétisation des divers plans de quartier déjà cités, la saturation de ces carrefours aura des conséquences sur l’ensemble de la circulation routière.

Il est donc grand temps d’étudier et de planifier l’assainissement de ces importants carrefours routiers ainsi que de repenser l’infrastructure du métro m1, d’étudier des solutions alternatives et d’analyser également d’autres variantes de desserte écartées à l’époque, soit le prolongement de la ligne de la Bourdonnette à Morges le long de la route du lac.

À ce sujet, le 29 novembre dernier, 13 des 14 députés de l’Ouest lausannois, avec le soutien au total de 51 député-e-s, ont déposé au Grand Conseil un postulat (16_POS_218 « Pour une extension de l’infrastructure et de l’offre du m1 ») demandant au Conseil d’État de bien vouloir étudier :

  1. une augmentation de la capacité de la ligne du métro m1 à brève échéance par une transformation de l’infrastructure actuelle et de son mode d’exploitation, par exemple par la création de nouveaux points de croisement permettant une fréquence accrue ;
  2. une désolidarisation de la route et de la ligne du métro m1 aux carrefours du Pontet et de la Bourdonnette, aux fins de fluidifier le trafic sur les axes forts passant à ces endroits, par exemple par la réalisation d’un passage en souterrain de la ligne du métro m1 (ou inversement, soit la route en souterrain) ;
  3. la suppression de manière générale, et si possible, de tous les passages à niveau présents tout au long de la ligne ;
  4. une extension de l’exploitation de la ligne du métro m1 en soirée jusque 01h00 pour correspondre avec l’exploitation de la ligne du métro m2 et les horaires des trains CFF en gare de Lausanne et Renens en fin de soirée ;
  5. la réalisation d’une paroi antibruit de chaque côté de la courbe entre les arrêts EPFL et Bassenges pour limiter les nuisances du frottement des essieux sur les rails à cet endroit en raison du trop faible rayon de courbure ;
  6. le prolongement à terme de la ligne du métro m1 de l’arrêt Bourdonnette à Morges par la route du Lac.

Considérant ce qui précède, je pose à la Municipalité, par voie d’interpellation, les questions suivantes :

  1. la Municipalité soutient-elle les objectifs du postulat 16_POS_218 « Pour une extension de l’infrastructure et de l’offre du m1 » déposé le 29.11.2016 au Grand Conseil par 13 des 14 députés de l’Ouest lausannois et cosigné par, au total, 51 député-e-s ?
  2. la Municipalité est-elle prête à appuyer la démarche des député-e-s et à demander au Canton et aux TL (par l’intermédiaire de son représentant au conseil d’administration), de procéder aux études nécessaires concernant le futur du métro m1 demandées par les député-e-s postulant-e-s ?
  3. de manière plus générale, quelle est la vision de la Municipalité quant au développement du métro m1 ces prochaines années pour assumer les besoins en transports publics efficaces dans les nouveaux quartiers en cours de réalisation ou à venir ?

Chavannes-près-Renens, 16.02.2017

Alexandre Rydlo, Conseiller communal socialiste

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[Grand Conseil – Question simple] L’Etat tolère-t-il les publicités du promoteur immobilier Bernard Nicod sur les panneaux routiers ?

Question simple déposée par Alexandre Rydlo lors de la séance du Grand Conseil du mardi 07.02.2017

Monsieur le Président,
Mesdames, Messieurs,

L’art. 6 al. 1 de la Loi fédérale sur la circulation routière (LCR, RS 741.01) indique que les réclames et autres annonces qui pourraient créer une confusion avec les signaux et les marques, ou compromettre d’une autre manière la sécurité de la circulation, par exemple en détournant l’attention des usagers de la route, sont interdites sur les routes. L’art. 97 al. 1 de l’Ordonnance sur la signalisation routière (OSR, RS 741.21) précise que les réclames routières sont interdites sur les signaux ou à leurs abords immédiats.

A quelques jours du début des campagnes électorales cantonales, ces dispositions ont d’ailleurs été gentiment rappelées aux partis politiques par la Direction générale de la mobilité et des routes.

Or cela fait maintenant depuis au moins le mois de décembre 2016 que le promoteur immobilier Bernard Nicod affiche sa publicité sur un panneau routier à l’entrée de Chavannes-près-Renens, sur la Route de la Maladière (RC 76). Cette publicité est posée à l’avant et l’arrière du panneau.

On peut d’ailleurs aussi se demander si les panneaux situés juste à côté du rond-point du vieux collège de Chavannes répondent aux exigences de la Loi sur la circulation routière et à l’Ordonnance sur la circulation routière…

Aussi je pose la question suivante au Conseil d’Etat.

L’Etat tolère-t-il les publicités du promoteur immobilier Bernard Nicod sur les panneaux routiers ?

Le slogan publicitaire du promoteur immobilier Bernard Nicod est «L’immobilier durable». Sa publicité est manifestement aussi durable.

Merci de faire respecter la loi…

Chavannes-près-Renens, 07.02.2017

Alexandre RYDLO, Député socialiste

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[Grand Conseil – Question simple] – L’Etat peut-il afficher sur tous ses chantiers les montants investis pour ceux-ci ?

Question simple déposée par Alexandre Rydlo lors de la séance du Grand Conseil du mardi 31.01.2017

Monsieur le Président,
Mesdames, Messieurs,

Dans un communiqué du 23.06.2016, le Conseil d’Etat indiquait que, de janvier 2011 à juin 2016, le Canton de Vaud a adopté des crédits d’investissement qui atteignent 6.71 milliards de francs, soit un rythme moyen de 1.22 milliards par année. Dans ce même communiqué, il indiquait que si les conditions budgétaires le permettent, il investirait au total 14.24 milliards entre 2011 et 2025.

Dans un autre communiqué, paru une semaine plus tard, soit le 30.06.2016, le Conseil d’Etat indiquait aussi que, pour garantir la sécurité de tous les usagers et maintenir la substance patrimoniale de la route, le Canton de Vaud aura investi depuis 2008, en plus des montants ordinaires portés au budget de fonctionnement (86.1 millions en 2017), pas moins de 160 millions de francs pour l’entretien constructif des chaussées, permettant ainsi l’assainissement de pas moins 140 tronçons. Dans ce même communiqué, le Conseil d’Etat indiquait aussi que quelques 69 millions de francs sont promis aux communes jusqu’en 2020 pour financer l’entretien de leurs routes.

Parmi les investissements actuels, outre les multiples travaux routiers et ferroviaires, on peut notamment citer ceux pour les infrastructures de l’UNIL (96 millions), l’acquisition du bâtiment RTS de La Sallaz (55 millions), les remontées mécaniques (33 millions), le bloc opératoire du CHUV (18 millions), le Centre d’enseignement postobligatoire de l’Ouest lausannois (60 millions), le Musée cantonal des beaux-arts (84 millions), le Synathlon à l’UNIL (27 millions), le nouveau Parlement cantonal (24 millions) et la rénovation du Château cantonal (23 millions).

Suivront ensuite ces prochaines années les investissements pour les constructions du bâtiment Vortex (194 millions), du Campus Santé (157 millions), de la 2e étape de Plateforme 10 (100 millions), du métro m3 Gare-Flon (153 millions), du métro m3 Flon-Blécherette (417 millions), du nouveau bâtiment des sciences de la vie (131 millions), ainsi que les investissements pour l’entretien et l’amélioration des routes (400 millions), et pour le déplacement/remplacement de la prison du Bois-Mermet (Lausanne) à Orbe (279 millions). On pourrait aussi citer les prêts pour, par exemple, le tramway t1 entre Lausanne et Renens (287 millions)…

De fait, et comme le rappelait le premier des communiqués de presse mentionnés plus haut, l’Etat de Vaud est le plus gros constructeur immobilier du pays après la Confédération, le canton de Zürich et les CFF. Ce communiqué rappelait d’ailleurs aussi qu’entre 75 et 95% du montant total des travaux sont adjugés à des entreprises vaudoises, chose dont on ne peut que féliciter le Conseil d’Etat et le personnel de ses services.

Tous ces investissements sont en tout cas nécessaires pour l’avenir de notre canton, et témoignent clairement de son énorme dynamisme. On ne peut que s’en réjouir.

Toutefois, si les citoyennes et les citoyens peuvent se rendre compte de tous ces investissements, ne serait-ce que parce qu’ils se traduisent pour l’essentiel par des travaux importants qu’ils voient, dont ils ont entendu parler, dont ils profiteront, ou dont ils subissent les conséquences, très peu de gens se rendent vraiment compte de ce que tous ces travaux représentent réellement en terme de volume d’investissements de la part de l’Etat de Vaud.

Au fond, très peu de personnes se rendent vraiment compte de ce que coûte concrètement la réfection d’un giratoire ou la pose d’un nouveau revêtement sur une route, la construction d’une nouvelle école ou d’un nouveau bâtiment administratif, la construction d’un nouveau tunnel ou d’une nouvelle halte pour un nouveau tram ou un nouveau métro, ou la pose après-coup de panneaux solaires sur le toit d’un bâtiment de l’Etat. L’immense majorité des gens a, au mieux, une vague idée des coûts selon sa propre expérience, ou non, en la matière…

Or presque tous les chantiers de l’Etat de Vaud disposent sur site d’un panneau d’affichage présentant les travaux en cours de réalisation, panneau qui présente souvent une image de la réalisation à l’issue des travaux, la durée prévue de ceux-ci, et une liste nominative des maitres d’œuvres et entreprises qui interviennent sur le chantier. Pour les travaux routiers, les panneaux oranges indiquent au mieux la durée de ceux-ci, la nature des travaux et les possibles détours.

Le soussigné trouve dommage que ces panneaux, dès lors qu’ils sont posés dans le but de renseigner sur les travaux en cours de réalisation, ne renseignent pas aussi sur les montants investis pour ces travaux.

Cet avis est manifestement partagé par quelques états des Etats-Unis d’Amérique et la Province du Québec, laquelle renseigne par exemple les utilisateurs des routes des montants investis pour chaque chantier.

Afficher les montants investis pour les travaux relèverait à la fois du principe de la transparence de l’action de l’Etat, mais aussi de la démonstration chiffrée et concrète de l’utilisation des impôts pour le service public. Les citoyennes et les citoyens, de même que les entreprises, paient des impôts et, de l’avis du soussigné, toutes et tous doivent être rendus attentifs de manière concrète à la manière dont leurs impôts sont utilisés pour les travaux, ne serait-ce que pour que toutes et tous se rendent compte que tous ces travaux demandent des investissements importants, et que payer des impôts est nécessaire pour assurer le service public.

Aussi je pose la question suivante au Conseil d’Etat.

L’Etat peut-il afficher sur tous ses chantiers les montants investis pour ceux-ci ?

Merci d’étudier cette demande… !

Chavannes-près-Renens, 31.01.2017

Alexandre RYDLO, Député socialiste

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Elections cantonales – Une liste forte pour un Ouest lausannois fort

Première force politique du district, le PS Ouest lausannois a décidé de présenter pour les élections cantonales d’avril une liste forte pour un Ouest lausannois fort.

Emmenée par Pierre-Yves Maillard, suivi des député-e-s Sonya Butera, Alexandre Rydlo et Myriam Romano Malagrifa, cette liste absolument paritaire et équilibrée, présente 14 candidat-e-s reconnu-e-s pour leur engagement. Ils-elles sont issu-e-s d’horizons socio-professionnels très divers, avec une personne en situation de handicap. La répartition géographique des candidat-e-s est équitable entre les différentes communes.

Le PS Ouest lausannois compte maintenir, voire renforcer la députation actuelle formée de 5 sièges.

Pour le Conseil d’Etat, le PS Ouest lausannois a plébiscité la candidature de Pierre-Yves Maillard.

Le PS Ouest lausannois remercie les député-e-s sortant-e-s Mireille Aubert et Pascale Manzini, entrées respectivement en 2002 et 2007 au Grand Conseil, pour leur fidèle engagement pendant toutes ces années et leur souhaite une excellente suite.

Liste du PS Ouest lausannois :

1. Pierre-Yves Maillard, Conseiller d’Etat (Renens)
2. Sonya Butera, Députée (Crissier)
3. Alexandre Rydlo, Député (Chavannes)
4. Myriam Romano Malagrifa, Députée (Renens)
5. Ihsan Kurt (Prilly)
6. Sylvie Pittet Blanchette (Ecublens)
7. Jean-Claude Glardon (Bussigny)
8. Conchita Neet Sarqueda (Renens)
9. Germain Schaffner (Ecublens)
10. Geneviève Noseda Guignard (Prilly)
11. Julien Clément Waeber (Chavannes, Jeunesse socialiste)
12. Patricia Spack Isenrich (Bussigny)
13. François Delaquis (Renens)
14. Christelle Dick (Ecublens)

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